En commission des finances le sénateur Bernard Delcros défend la mise en œuvre de la réforme de la DGF : « Tout le monde convient que la DGF est illisible et surtout injuste, comme l’a clairement démontré le rapport Pirès-Beaune. J’entends les arguments de ceux qui mettent en garde contre toute précipitation, en avançant des arguments fondés, comme la redéfinition de la carte intercommunale, mais le cumul de la DGF d’aujourd’hui et de la baisse des dotations de l’État rend cette réforme indispensable, sauf à vouloir asphyxier certains territoires. Il faut préciser, affiner les simulations, mais on ne peut indéfiniment reporter la réforme. Il y va de l’avenir de notre ruralité. »