Lors du débat sur l’avenir du fret ferroviaire en France, le sénateur du Cantal souhaite que l’on reconsidère le train et le fret ferroviaire dans une vision stratégique à plus long terme et que l’on investisse dans l’entretien et la modernisation du réseau ferré, « qui n’est pas à construire puisqu’il existe ! » insiste t-il. Il saisit cette opportunité pour revenir sur l’avenir des petites lignes SNCF, en prenant l’exemple de celle de Clermont-Ferrand-Neussargues-Béziers, axe majeur du fret du Massif central qui conditionne le maintien de l’entreprise Arcelor Mittal à Saint-Chély d’Apcher.