Le sénateur du Cantal a répondu à l’invitation du Conseil départemental pour apporter sa vision sur l’avenir de la ruralité. Services publics, couverture numérique, téléphonie fixe et mobile, offre de soins en libéral mais aussi dans les hôpitaux ruraux, attractivité des territoires, politique d’accueil de nouveaux arrivants, transition numérique et écologique pour créer les emplois de demain… autant d’enjeux et de rendez-vous à ne pas manquer selon le sénateur pour réussir la mutation nécessaire des territoires ruraux.
Alors que le projet de loi de finances est en cours d’examen au Sénat, Bernard Delcros poursuit ses réunions d’information dans les différentes communes du Cantal pour relayer les avancées de ce débat législatif avec un focus sur les dotations de l‘Etat aux collectivités prévues en 2018. A Saint-Flour comme dans les autres communes, le sénateur n’hésite pas à sortir du cadre pour répondre aux questions des élus sur d’autres sujets qui les préoccupent comme ici, les évolutions en matière de compétences notamment celles de l’eau et de l’assainissement. Pour Bernard Delcros, ces temps d’échanges et de proximité, en prise directe avec le terrain, sont chaque fois des moments précieux et nécessaires dans son travail parlementaire.
Répondant à l’invitation de Nathalie Guillot-Juin, sous-préfète de Mauriac, Bernard Delcros est venu à la rencontre des élus de l’arrondissement pour une réunion d’information sur le projet de loi de finances 2018, actuellement en cours d’examen au Sénat, et les dotations de l’Etat qui seront attribuées aux collectivités. « Ces moments d’échanges et de proximité sont essentiels pour accompagner le mieux possible les élus du Cantal dans leurs projets » souligne le sénateur, toujours partant pour relayer sur le terrain les décisions nationales et apporter des précisions sur certaines mesures qui concernent de près les élus du département.
A l’occasion du 100ème Congrès des maires, Bernard Delcros a accueilli avec sa suppléante Mireille Leymonie et sa collègue sénatrice du Cantal, Josiane Costes, les maires et élus cantaliens, au Sénat. Après un échange convivial autour d’un apéritif dînatoire, auquel étaient également conviés les députés du département, les nombreux invités ont pu bénéficier d’une visite guidée du palais du Luxembourg.
Invité par le maire, Daniel Miral, le sénateur du Cantal s’est rendu à Andelat lors de l’inauguration de plusieurs réalisations communales : salles de classe et restaurant scolaire, salle d’activités pour tous les habitants, locaux techniques. S’il a félicité l’équipe municipale pour ces projets qui contribuent à l’attractivité de leur commune, Bernard Delcros a également tenu à saluer les anciens maires de Roffiac et Andelat. « qui ont su anticiper les évolutions en faisant, dès 1996, le choix d’un regroupement pédagogique pour sauver leurs écoles ». Et l’avenir leur a donné raison. Aujourd’hui, 80 enfants y sont accueillis et bénéficient d’un cadre d’apprentissage exceptionnel apprécié par les enseignants aussi ! » a rappelé le sénateur.
Le sénateur Bernard Delcros était aux côtés de nombreux élus et habitants de Saint-Flour communauté, pour soutenir le maintien du guichet de la gare de Saint-Flour actuellement en sursis pour 6 mois. « Cette décision de fermeture unilatérale, sans concertation avec les élus locaux est inacceptable. Certes les services doivent évoluer dans une société qui évolue. Et le rôle des élus est d’accompagner ces changements dans les meilleures conditions. Mais ce travail d’adaptation qui impacte le quotidien des habitants et l’économie locale doit se faire dans la concertation » explique Bernard Delcros. Le sénateur du Cantal soutient le projet de plateforme multimodale à partir de la gare de Saint-Flour, « Un projet d’avenir qui a du sens et qui préfigure les services de demain ! »
C’est en élu de terrain que le sénateur est intervenu lors de la réunion de pilotage sur la route nationale 122, présidée par le préfet du Cantal, Isabelle Sima, en présence de nombreux élus et acteurs concernés. Moderniser le principal axe routier du Cantal est pour Bernard Delcros un enjeu capital pour l’avenir du département.
«On en parle depuis trop longtemps sans résultats tangibles, mêmes si de réelles améliorations ont été apportées » t-il souligné en préambule. « L’Etat a engagé une étude globale sur la longueur de l’itinéraire. C’est la bonne méthode mais l’étude en cours de réalisation ne peut se limiter à quelques aménagements ponctuels ». Elle doit selon lui tracer concrètement un projet global et ambitieux pour les vingt prochaines années. Et cela doit être fait de façon à engager dans les meilleurs délais les études pré-opérationnelles qui concernent les aménagements prioritaires, notamment les contournements de Vic sur Cère, Thiezac et Maurs ou le giratoire de Murat, un chantier de moindre ampleur mais également prioritaire.
« Cette approche globale est indispensable pour avancer avec pragmatisme et nous inscrire dans la durée. Les communes et intercommunalités pourront ainsi anticiper les réalisations futures et adapter leurs documents d’urbanisme afin d’éviter de nouvelles constructions sur des emplacements qui pourraient compromettre ces projets. Elle permettra aussi créer des réserves foncières ou de planifier des études environnementales, souvent longues qu’il convient d’anticiper » a précisé le sénateur, soulignant que les élus, les acteurs économiques et les habitants ont besoin de visibilité.
Bernard Delcros continuera à suivre avec la plus grande attention ce dossier. « Il y va de l’attractivité de notre département qui ne doit pas rester à l’écart des nécessaires évolutions au moment où le gouvernement prévoit un plan d’investissement de 50 milliards sur 5 ans ! » a-t- il conclu.
Invité par Gilbert Mommalier, maire de Saint-Etienne-de-Chomeil, Bernard Delcros a participé à une inauguration, en présence d’Alain Marleix, conseiller régional, de Valérie Cabecas, vice-présidente du Conseil départemental, François de Boisset, maire de Riom-es-Montagnes, de plusieurs maires et élus mais aussi de nombreux habitants.
Il s’agissait de la rénovation de l’ancien presbytère de la commune où ont été créés deux nouveaux logements. Pour le sénateur, « Cette opération est exemplaire car elle s’intègre dans un programme bien plus vaste d’aménagement du bourg qui comprend la restauration du bâti, la création de nouveaux logements, la mise en valeur des espaces publics, la construction de murets de pierres, l’installation d’un nouvel éclairage public ou encore le fleurissement des rues. Autant d’aménagements qui améliorent le cadre de vie des habitants, rendent ce bourg très agréable et particulièrement attractif avec des effets positifs au niveau démographique car régulièrement de nouvelles familles s’y installent ».
Bernard Delcros voit en cette rénovation la démonstration que détermination et confiance en l’avenir permettent aussi aux élus de petites communes comme Saint-Etienne-de-Chomeil, 200 habitants, de réaliser des projets moteurs et structurants.